DECEMBRE 2013
NOVEMBRE 2013
François Fouger dédicacera son nouveau livre
« Histoire
du chemin de fer à crémaillère Aix-les-Bains / le Revard » le mardi 5
novembre 2013 de 10h à 12h et de 14h à 17h
dans l'accueil de l'Office de Tourisme place
Maurice Mollard
73100 Aix les Bains.
Des projets de construction aux projets de
reconstruction, ce livre raconte l’Histoire et les petites histoires de
ce réseau historique, premier chemin de fer à crémaillère de montagne
construit en France, à l’aide de documents d’archives et de témoignages.
Livre relié, format 220 x 270 à l’italienne, 208
pages et plus de 370 illustrations, photos, plans, dessins…
OCTOBRE 2013
Lettre d’information n° 131
Des
nouvelles de l’AMOURIER
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Nouvelle parution
(roman/journal)
L'Âge du Christ
de Jean Mailland
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Ami(e)s,
Jean Mailland est un homme
fascinant tant sa vie fut pleine de ce que le monde a pu lui
“donner”. On comprend dès lors qu’il la confie à un journal
depuis l’âge de 15 ans. Écrivain, mais aussi homme de théâtre,
de cinéma et de télévision, métiers qui – quand ils sont nourris
d’une soif de vivre et de découvrir – donnent le privilège
d’aller au-devant des autres (parmi lesquels des personnalités,
comme Armand Gatti, Roger Planchon, Roger Vadim, Élisabeth et
Roger Vailland…) et de les approcher dans leur intimité.
C’est un de ces journaux que nous venons de publier,
celui de l’année 1970, année de ses 33 ans,
L’Âge du Christ, parce que
sous le signe de la passion et de la renaissance. Une passion
amoureuse avec la grande chanteuse polonaise Anna Prucnal,
doublée d'une passion pour la création, toutes deux entravées
par la distance qui les sépare. Avec un vrai talent de
conteur,
Jean Mailland renouvelle la
forme du journal d’écrivain et nous conduit à travers ses affres
et ses joies et sa détermination à retrouver au-delà des
frontières la femme aimée. Enrichi d'une réflexion sur son
travail d'écriture en cours, ce roman/journal prend vie sur fond
d'un monde social et politique de Guerre froide.
Jean Mailland sera présent
au salon de
L’Autre Livre à Paris
(Espace des Blancs-Manteaux), sur le stand des éditions
L’Amourier les samedi 16 et dimanche 17 novembre à partir de
14h. Puisque l’équipe s’est agrandie, nous serons également
présents aux mêmes dates à Grigny dans le Rhône, à
L'Autre Salon, un salon
de l’édition indépendante. Amis parisiens et rhônalpins,
nous serons heureux de vous rencontrer… Bernadette Griot
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SEPTEMBRE 2013
Lettre
d’information n° 130
Des nouvelles de l’AMOURIER
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Nouvelle
parution (poésie)
Vers les
riveraines d'Alain Freixe
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(…)
les mots que nous aimons sont enjambées risquées,
courses poudreuses, écarts et pas. Ce sont eux que l’on
entend marcher dans les livres, rompre quelques ronces,
écarter brisées et feuilles mortes, s’éloigner en
quelques passées anciennes, se perdre. Et vibrer,
longtemps. Après. Oui, à lire, c’est cela qu’on
entend. Cette avancée. De nuit. Tandis que se taisent
les cris du monde.
Ami(e)s, ces quelques lignes,
extraites du nouveau livre d'Alain
Freixe vous disent comment notre "rentrée"
prend les chemins de traverse, préférant à l'uniformité
des feux de la rampe, la clarté de la luciole dans une
ombre toujours mouvante. N'est-ce pas de là que surgit
la poésie ?
Alain Freixe est un
de ces militants qui, depuis longtemps, agit afin que
vive en tous lieux et en toute exigence la poésie. Ses
engagements sont nombreux, depuis le département des
Alpes-Maritimes jusqu'au Centre Joë Bousquet et son
temps à Carcassonne, en passant par ses
collaborations à différentes revues dont, bien sûr…
notre
Basilic.
Vers les riveraines
(son nouveau recueil) poursuit la "marche" entamée dans
Comme des pas qui s'éloignent,
premier recueil publié en 1999, prolongée dans
Avant la nuit, en
2003, puis
Dans les ramas, en
2007. Marche méditative où chemine une écriture sans
cesse en questionnement sur le temps; ici, la voix
perdue des morts et la nomination des choses quand elles
sont à peine perceptibles. C’est bien du côté de la
luciole que nous invite Alain Freixe, dans un tremblé
des mots surgis du silence.
Vous pourrez
rencontrer prochainement Alain Freixe lors de deux
festivals du livre, les 28 et 29 septembre, dans le
cadre de Lire à Vence, place Godeau, et les 4, 5 et 6
octobre 2013 à
Mouans-Sartoux.
En amitié, et donc, à
la lueur de la luciole, Bernadette Griot
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MAI 2013
Dédicace
« Survivre à la nuit »
Patrick Liaudet à Carrefour Market
Ce
samedi 25 Mai, veille de la fête des mères, l’écrivain aixois
Patrick Liaudet a dédicacé au magasin
Carrefour Market son dernier roman « Survivre à la nuit ».
Ce roman a vu le jour à la
fin de novembre 2012 et connaît un bel accueil auprès du public : « J’ai
eu de nombreux retours positifs de femmes qui ont suivi pas à pas
l’héroïne ! » précise l’écrivain.
Sans vouloir dévoiler le
contenu du livre, c’est l’histoire vécue par une jeune femme
qui a été enlevée. C’est le début d’une nuit de 2
ans, une descente vers l’enfer. Ce livre se lit comme un triller, une
histoire haletante au cours de laquelle l’écrivain porte un témoignage
contre la violence faite aux femmes, mais délivre en même temps un
vibrant message d’espoir au final.
A noter que le précédent roman de Patrick Liaudet
« L’Ombre sur le Lac » sortie en 2011, a été envoyé au site
writemovies.com, qui recherche des scénarios de films pour Hollywood. A
l’occasion de ce concours international 2013, le site a reçu quelques
1000 livres scénarios provenant de 21 pays. L’écrivain aixois a décroché
une très belle 30eme place. Une belle performance et une confirmation de
la qualité de l’oeuvre, même si seulement les 3 premiers romans étaient
primés !
Pour ceux et celles qui ne sont pas encore en
possession de ce thiller ou de ses précédents romans, Patrick Liaudet
sera présent tous les mercredis après midi aux Artisanales qui se
tiennent au Grand Port à Aix les Bains.
Thierry Enrico le directeur du magasin
Carrefour Market et une lectrice, en compagnie de l’écrivain
MARS 2013
Le Livre, depuis ses débuts, est le compagnon de
cette Liberté Grande qui, seule, permet à l'auteur comme au lecteur, de
comprendre le monde, l'histoire, de supporter et de surmonter les
épreuves, tant collectives que personnelles, de traverser au besoin le
désert, et surtout de transfigurer ce que l'on reçoit pêle-mêle, au
hasard des vagabondages et des braconnages, la beauté et l'esprit, afin
de les partager. En bref, de vivre debout et avec les autres, grâce à ce
paradoxal objet, à ce recueil de signes, fait pour passer de main en
main. Parceque sans transmission, serait vaine l'humanité. C'est ainsi
qu'Hervé Gaymard, homme politique, ancien ministre, député, Président du
Conseil Général de Savoie et de la Facim, mais également et surtout,
écrivain et immense lecteur, évoque sa passion pour le Livre, au début
de son rapport sur l'avenir de celui-ci en Mars 2009, complété cette
année par un développement consacré au Numérique. Au sein de ce travail,
défense et illustration d'une politique active du Livre, on trouve
encore cette interrogation : L'irruption du numérique dans l'univers du
papier signera-t-elle le divorce entre livre et lecture, jusque-là
indissolublement unis ? Rien n'est moins sûr, même s'il y a un tournant
dans une formidable histoire semée de ruptures et de recommencements
sans fin. Depuis au moins les Essais de Montaigne, cette œuvre
si amendée, cousue, décousue et recousue
qu'elle semble inachevée, écrire c'est d'abord faire un livre.
C'est
de cette mutation que nous lui demandons de débattre aujourd’hui avec
nos invitées, Abeline
Majorel
et Véronique
Bourlon, militantes
actives et praticiennes de la révolution numérique.
Bibliographie de Hervé Gaymard :
Pour Malraux,
la Table Ronde 1996, augmenté de
Nervures invisibles, 2OO6
Engagement politique et nation,
PUF, 2002
La route des Chapieux,
Fayard, 2004
Un nouvel usage du monde,
Mille et une Nuits, 2007
Memoria d’autunno, al piccolo San Bernardo con Rigoni Stern,
Liaison éditrice, 2008, prix ITAS
2009
Pour saluer Jean Toulet,
Le Bouquin des Bouquins, Robert Laffont, 2OO9
Préface à la Nouvelle édition des
MEMOIRES du Géneral De Gaulle,
2O12 Et
bien sûr : Pour le
livre, Galimard, 2OO9.
Abeline
Majorel
Diplômée en droit, Abeline Majorel choisit de
bifurquer vers sa passion la lecture en devenant journaliste-pigiste
littéraire. Passionnée par les nouvelles technologies et enthousiaste
sur les nouvelles modalités de " lire ensemble", elle se sert de son
expérience en tant que déléguée au sein du Social Media Club France,
pour créer Chroniques de la rentrée littéraire. De cette expérience va
découler son entreprise
Chroniqu.es
et son credo, faire de l intertxtologie, travailler à relier et
promouvoir les textes avec l'aide de la technologie. Elle est entre
autres missions chargée du numérique pour le Festival du premier roman
de Chambéry.
Véronique Bourlon
Diplômée d'une Ecole de commerce, Sup de Co Rouen, Véronique Bourlon a
commencé son parcours professionnel dans le secteur publicitaire. Mais
très vite, elle se dirige vers le domaine culturel, qu'elle affectionne
particulièrement. Passionnée par le théâtre, elle fonde sa compagnie,
écrit et met en scène, puis rejoint la Fnac, comme Responsable de la
communication culturelle, en magasin, puis au siège du groupe. Après 10
ans de bons et loyaux services, et un DESS en Gestion des institutions
culturelles obtenu à l'Université de Paris Dauphine, elle quitte la Fnac
et s'aventure dans le domaine du spectacle vivant. Elle rejoint Abbi
Patrix, conteur, et devient administratrice de sa compagnie installée à
La Maison du Conte. Quelques productions plus tard, Véronique Bourlon a
envie de s'investir à la tête d'une institution culturelle : elle
devient alors directrice du Festival du premier roman de Chambéry, en
2008. Poste qu'elle occupe encore aujourd'hui.
FEVRIER 2013
Lettre d’information n° 124
Des nouvelles de l’AMOURIER
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Nouvelle parution
(récit)
La Fenêtre du vent de Jeanne Bastide
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Pour en savoir plus, un
simple clic sur les images…
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Ami(e)s
lecteurs et lectrices,
Jeanne Bastide, nous le
savons, a de belles qualités pour animer des ateliers d’écriture
: la patience, l’écoute et une perspicacité singulière pour
entendre les non-dits, les désirs et leur donner vie. Ce sont
ces mêmes qualités qui animent ses récits. Elle habite de
manière extrêmement sensible l’univers mental de ses narrateurs
et par-delà les péripéties du récit, développe un monologue
intérieur révélant la complexité des êtres. (Voir
Lucarnes et
Un silence ordinaire, ses
précédents livres.) Dans ce nouveau titre,
La Fenêtre du vent,
Jeanne Bastide s’empare de
notre douloureux héritage colonial à travers les pensées et les
actes de son narrateur, un jeune conscrit arrivé du sud de la
France, perdu en pleine guerre de conquête de l’Algérie, dans
les années 1840. Sa peur et ses doutes quant aux menées
guerrières qui emplissent ses jours conjuguées, la nuit, aux
gestes de l’amour, le conduisent à penser sa vie selon une
perspective, pour lui, complètement inédite. Lumineux chant
d’exil qui interroge l’ambiguïté de la conscience humaine face à
l'amour et à la guerre.
N’hésitez pas à lire des extraits
de ce livre sur notre site
Par ailleurs,
Le Printemps des poètes
partout vous invite à lire et écouter de la poésie. Découvrez
l'agenda de nos auteurs
intervenant ici ou là dans votre région…
Avec nos
amitiés, la fenêtre ouverte aux vents et aux livres…
Bernadette Griot
amourier.com
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JANVIER 2013
Lettre
d’information n° 123
Des nouvelles de l’AMOURIER
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Nouvelle
parution (journal)
Un an de René
Pons
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Chers vous, toutes et tous
À chacun, chacune en
particulier, nous adressons nos meilleurs vœux.
Cultivons le meilleur que l’on puisse partager en ce
début d’année annoncée “austère”… Une clairvoyance, par
exemple, qui nous donne l’élan pour douter de cette
fatalité, inventer encore et construire solidairement.
À notre mesure… nous essayons. À notre mesure, nous
informons. Nos choix littéraires vont-ils dans ce sens ?
Sûrement un peu puisque la maison est encore debout et
dans des perspectives bien vivantes malgré les
difficultés. Grâce à vous, chers lecteurs et grâce à l'Association
des Amis de l'Amourier dont nous remercions
tous les adhérents.
Ce début d’année voit la
parution d’un nouveau livre de
René Pons, “mon
dernier” dit-il, avec une once d’inquiétude.
Un an s’apparente à
une forme de journal, où chaque notule est datée du jour
de son écriture. L’auteur nous livre sa vision du monde
tel qu’il va – pas très bien, bien sûr –, ses sensations
et ses réflexions nourries d’une patiente et délicate
observation.
René Pons interroge
aussi le sens de son écriture, avec la lucidité et
l'exigence qu'on lui connaît parce qu'elles ont traversé
toute son œuvre.
N’hésitez pas à lire des
extraits de ce livre sur notre site et découvrir la
bibliographie de
René Pons.
Vous pourrez aussi rencontrer René Pons vendredi 11
janvier à la librairie du Carré d'Art à Nîmes où il lira
des extraits de ses livres à 18h30.
Puisse
l'année 2013 nous garder en mouvement, Solidairement
vôtre, Bernadette Griot
amourier.com
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