EVENEMENTS Région Aixoise |
MARS 2012
Cartes Postales Anciennes Aix les Bains
Série de cartes postales en vente exclusivement à l’Office du Tourisme
d’Aix les Bains, installé au rez de chaussée des Anciens Thermes place
Maurice Mollard en face de la Mairie d’Aix les Bains.
Renseignements : 04 79 88 68 00
La Motte Servolex / Aix les Bains
Election législative 2012 les 10 et 17 juin 2012
Dominique Dord candidat à sa propre succession dans la 1ere
circonscription de la Combe de Savoie
Le
candidat Dominique Dord a choisi les hauteurs de La Motte Servollex au
hameau de Barbizet, et plus précisément dans la ferme Bonfils, pour
lancer sa campagne 2012.
Ce n’était pas un clin d’œil avec le Salon de
l’Agriculture qui se tenait en même temps à Paris, mais plutôt un lieu
sentimental puisque le candidat a séjourné dans cet endroit en
son jeune âge !
Comme lors de précédentes élections son suppléent
se nomme Claude Giroud maire d’Albens et vice président du Conseil
Général.
Par rapport à la précédente élection, le
redécoupage législatif en Savoie enlève à cette circonscription
plusieurs cantons : Chambéry Est, Chambéry Nord, Le Châtelard et
Saint-Alban-Leysse !
Pour le lancement de sa campagne 2012, le député
maire Dominique Dord étaient entourés de nombreux maires des communes
environnantes, présidents de communautés de communes, de conseillers
généraux et régionaux, d’acteurs économiques, de sympathisants
politiques bien décidés à le propulser vers la victoire comme le
sénateur Jean Vial.
Objectif atteint
à 85%
« On a vécu un mandat complètement inattendu. En
2007 quand on s’est présenté on aurait jamais pensé à une telle
succession de crises. Il y a eu en faite 2 mandats. Au cours du 1er
de 2007 à l’automne 2008 on était dans un contexte de croissance, sur la
trajectoire que l’on imaginait en pensant revenir au plein emploi. Mais
il y a eu une 2eme partie de mandat à partir de
l’automne 2008 avec l’effondrement de la banque d’affaires
américaine Lehman Brothers, et les conséquences que vous connaissez.
Dans ce contexte les résultats n’ont rien à voir avec ce que l’on
imaginait en 2007. Et pourtant, on a le sentiment d’avoir bien rempli
notre mandat législatif. Dans le Monde de lundi on pouvait lire que l’on
a tenu 85% de nos engagements pris dans la campagne de 2007. Evidemment
ces engagements ont été masqués par les crises successives. De
nombreuses réformes ont cependant eu lieu et certaines non prévues au
départ.
Comme la précédente, cette campagne 2012 va être
tout à fait masqué par l’élection présidentielle jusqu’au 15 mai
pratiquement. Cela va être difficile de sensibiliser les savoyards sur
nos projets. Mais maintenant, les législatives suivent les
présidentielles.
Visite de
l'ensemble des communes
Avec Claude Giroud, on a voulu commencer
aujourd’hui car le calendrier à venir est très chargé avec les vacances
de Pâques, les ponts de mai et les 2 tours de la présidentielle.
A partir de la fin mars on va débuter le tour de
l’ensemble des communes de la circonscription avec Claude, en commençant
par les plus petites.
Dans toute la circonscription nous avons des
points d’appuis solides. L’expérience qui est la notre et notre ancrage
local nous donnent un certain avantage. Mais c’est une compétition. On
est tous sur la même ligne de départ mais il faut être le 1er
sur la ligne d’arrivée ! »
Tout au long de cette campagne, le candidat aura
un local sur
Aix les Bains et un sur La Motte Servollex, afin
de montrer qu’il n’y a pas qu’Aix les Bains et son bassin dans cette
1ere circonscription. Blog : www.dominique-dord.fr
Casino Grand Cercle
Salon Meubles et Décorations
Au
cours du week end du 4 mars, le Casino Grand Cercle
a accueilli le 2eme Salon
Meubles et Décorations, organisé par l'UNAMA, (Union Nationale Artisanat
Métiers Ameublement).
Quelques 30
entreprises artisanales étaient présentes pour aider et donner des
conseils aux visiteurs afin d’améliorer ou changer la décoration de leur
intérieur !
Aix les Bains
Prise d’armes, défilé et conférence en l’honneur du chef de bataillon
Jean Bulle !
Ce samedi 3 mars
sur la place Mollard devant la mairie, s’est déroulée une cérémonie
militaire à l’occasion de la venue en Savoie de la promotion « Chef de
bataillon Bulle » de l'Ecole Militaire Spéciale de Saint Cyr en mémoire
du Chef de Bataillon Jean Bulle : jeune héros de la résistance savoyarde
arrêté à Albertville par les allemands
le 21 août 1944. Assassiné,
il sera découvert sur les hauteurs de Chambéry le Vieux.
Cette cérémonie
solennelle s’est déroulée sous la responsabilité du Colonel Alain
Didier, chef de corps du « Bataillon Bulle » en
présence de Renaud Beretti premier adjoint à la ville d'Aix, de
Claude Giroud Vice-président du Conseil général et de Jean Claude
Loiseau conseiller général, des représentants des autorités civiles et
militaires, d'une délégation de drapeaux et de nombreux aixois aixoises.
Au cours de cette
cérémonie la Croix de la Valeur Militaire avec Etoile de Bronze a été
remise aux sergents Thouroude et Le Bourles pour s’être distingués en
Afghanistan au sein du GTIA Kapisa au cours de l’hiver 2010-2011 lors
d’engagements avec les rebelles.
Ensuite avait lieu
la remise de la fourragère aux couleurs de la Croix de Guerre 1914-1918
cordon vert et rouge, accroché à l'épaule de plusieurs jeunes chasseurs
du lieutenant Christophe Mutet.
La cérémonie se
poursuivait par un défilé au son de la fanfare du 27eme bataillon de
chasseurs alpins, jusqu’au Centre des Congrès pour une conférence sur le
parcours du chef de bataillon Jean Bulle !
BIOGRAPHIE DU CHEF DE BATAILLON BULLE Le héros de
Frison-Roche (« Les montagnards de la nuit »), de Jean d’Arbaumont
(« Capitaine Bulle ») et de Gil Emprin (« Les carnets du capitaine
Bulle, l’homme derrière la légende »), Jean Bulle, est né à Pontarlier
en 1913. Il nourrit très tôt une véritable vocation pour le métier des
armes malgré une santé fragile, suivant l’exemple de son père combattant
des tranchées. Les camarades de Bulle diront de lui par la suite :
« Nous avons été attirés tout de suite par ce grand garçon sérieux, au
regard brillant d’intelligence, de foi ardente aussi bien religieuse que
patriotique (...), il aimait la vie, mais déjà nous pressentions qu’il
saurait se sacrifier, s’il le fallait, pour une cause juste et
féconde. » 1. Sa
vie de saint-cyrien Entré en corniche au Prytanée National Militaire de La Flèche, il intègre l’École Spéciale Militaire de Saint-Cyr le 29 septembre 1934. Membre de la promotion du « roi Alexandre 1er », il fut « gradé aux jeunes » de bazars encore inconnus qui diront de lui : « Il s’imposait à nous par l’exemple permanent qu’il nous offrait dans la vie de tous les jours. Il avait le sens du commandement allié à un grand souci de l’humain ; il a su nous accueillir d’une façon ferme et à la fois amicale et nous faire passer sans douleur de la vie du lycéen à celle d’élève-officier. Il savait pratiquer avant même de l’être le rôle social de l’officier. Nous, dont la promotion a pris le nom du maréchal Lyautey y avons été particulièrement sensibles. Je ne m’étonne pas que Bulle ait fait de grandes choses, car il avait un rayonnement certain et une grande foi dans son métier. » (Lieutenant Tom Morel). Il reste peu d’écrits sur lui à Saint-Cyr mais ces
écrits, si courts soient-ils, parlent d’eux-mêmes : « Sujet de choix,
sait ce qu’il veut et le veut bien (...) plein de foi et d’allant, se
donnera à la tâche de tout cœur et fera un officier solide aux qualités
de premier ordre. » 2. Sa
vie de chef Sorti 26e de Saint-Cyr, il choisit de
servir au 60e Régiment d’Infanterie, avant de prendre la
tête, en septembre 1939, d’une section d’éclaireurs-skieurs (SES) au 70e
Bataillon Alpin de Forteresse. Il contribuera grandement, par ses
qualités sportives et humaines, à forger l’identité et la compétence de
cette section d’élite (les SES sont les ancêtres des actuels « Groupes
Commandos Montagne ») composée des meilleurs montagnards de la région du
Beaufortain. « Cet officier aime passionnément ses hommes qui le lui
rendent bien. » Ses premiers faits d’armes auront lieu avec cette
section, du 14 au 21 juin 1940, sur le col de la Seigne et le col de la
Tête de l’enclave. A cet endroit stratégique de la bataille des Alpes,
le lieutenant Bulle et sa section tiennent le col face aux bataillons
italiens d’élite, les Alpini : ce seront les combats les plus hauts
de l’année 1940. Les français en infériorité numérique repoussent
héroïquement les italiens, avant de se replier dans des conditions
extrêmes sous les ordres de leur chef. Le lieutenant Bulle récolte une
citation à l’ordre de l’armée, et surtout l’éloge des grands alpins de
l’époque. Le général Touchon, qui commandait la 6e armée et
le front des Alpes au début de la guerre, lui écrivit : « Vous êtes, je
crois bien, celui qui a lutté à la plus haute altitude contre l’ennemi
et le tourment réunis ! Vous l’avez fait avec cœur, intelligence et
courage. ». Le général Vallette d’Osia qui, alors commandant,
vint sur place en 1942, affirme que « le rôle de sa section d’éclaireurs
fut, à la Seigne et à l’Enclave, extraordinaire et primordial. » Mais, si l’armée des
Alpes reste invaincue sur le champ de bataille, elle doit se soumettre à
l’armistice. En 1943, Jean Bulle entre en résistance : il mène désormais
avec sa famille une vie clandestine, caché la plupart du temps par les
anciens membres de sa section d’éclaireurs-skieurs. Ses qualités
d’organisateur font merveille lors de l’exécution de plusieurs coups de
main et sabotages, et le placent à la tête du maquis du Beaufortain en
tant que chef militaire. Il organise le parachutage du col des Saisies,
armant ainsi son bataillon de 1200 maquisards. Il parvient à éviter dans
son district les répressions sanglantes de l’occupant : il ne concentre
jamais tous ses hommes au même endroit, et mène des opérations à l’aide
de petits groupes de résistants. Cette clairvoyance a eu pour effet que
ne se produise pas dans cette région des tragédies semblables à celle du
Vercors ou des Glières.
Lors de la
Libération, le bataillon Bulle finit par encercler Albertville encore
aux mains des allemands. Voulant éviter une lutte qui impliquerait la
population, le capitaine Bulle se rend, seul et sans armes, aux portes
de la ville pour négocier la reddition allemande, sur la promesse d’un
officier ennemi de pouvoir repartir libre. Il sera encerclé, abattu et
retrouvé le lendemain matin sur une petite route de terre. Le « bataillon Bulle » est devenu depuis le 7e Bataillon de Chasseurs Alpins et le capitaine Jean Bulle a été élevé à titre posthume au grade de chef de bataillon en récompense d’une vie dévouée à la grandeur de la Patrie, à l’honneur et à ses hommes.
La promotion
« chef de bataillon Bulle »,
Créée par le consul Bonaparte le 1er mai 1802, l’École
Spéciale Militaire de Saint-Cyr (ESM Saint-Cyr) est implantée, depuis
juillet 1945, dans la lande bretonne sur le camp de Coëtquidan. Elle a
pour devise :
« Ils s’instruisent pour vaincre »
Grande école d’enseignement supérieure, l’École Spéciale Militaire de
Saint-Cyr assure la formation initiale des officiers du corps des
officiers des armes issus du recrutement direct, par la voie des classes
préparatoires aux concours des grandes écoles.
École du commandement, elle forme des officiers destinés à encadrer les
unités opérationnelles de l’armée de Terre, puis à assumer des
responsabilités croissantes de conception et de direction au sein des
régiments et états-majors de l’armée de Terre, de la Défense et des
alliances internationales.
Elle délivre en 3 ans une formation pluridisciplinaire validée par un
Master 2 ou un titre d’ingénieur. Cette formation à la fois humaine,
militaire et académique sera ensuite complétée par les enseignements
spécialisés en école d’application et permettra, ainsi, au jeune
officier d’assumer ses premières responsabilités de commandement en
corps de troupe.
Cet officier saint-cyrien s’est particulièrement illustré au cours de la
campagne de 1940 en luttant dans les rangs du 80e Bataillon
Alpin de Forteresse. A la tête d’une section d’éclaireur skieur
(équivalent des actuels commandos montagne), il a tenu tête à l’élite
des combattants italiens, se distinguant par son sens du devoir,
l’audace de son action et le souci permanent de préserver la vie de ses
hommes.
En 1943, Jean Bulle rejoint la résistance et prend la tête du maquis du
Beaufortin. Soucieux d’éviter l’affrontement massif, humainement coûteux
et générateur de représailles, il privilégie les actions brutales,
ciblées et efficaces de maquisards qu’il veille ensuite à fondre dans la
population qui les fournit. Après le débarquement en Provence, il chasse
les Allemands de la vallée du Beaufortin. Il encercle Albertville, mais
cherchant à obtenir la reddition de la garnison allemande afin d’éviter
des pertes civiles lors de combats, il est capturé et abattu par
l’occupant nazi. Son corps est retrouvé à Chambéry-le-Vieux. Il reste dans les mémoires pour avoir servi la France et avoir défendu la Savoie contre les nazis tout en cherchant à éviter les pertes civiles.
La promotion se compose de 153 élèves officiers dont 8 élèves-officiers
féminins et 22 élèves-officiers étrangers. Ces derniers sont issus pour
la majorité d’Afrique francophone (Bénin, Burkina Faso, Cameroun,
Centrafrique, Congo Brazzaville, Djibouti, Gabon, Madagascar, Mali,
Mauritanie, Niger, Sénégal, et Togo), mais aussi d’Asie (Afghanistan,
Corée du Sud, Thaïlande et Viêt-Nam), du Moyen Orient (Qatar) et
d’Amérique du sud (Pérou). Un élève-officier allemand suit également la
totalité de sa scolarité à Saint-Cyr. Par réciprocité, 5
élèves-officiers ont choisi de poursuivre leur scolarité militaire et
académique en Allemagne. L’âge moyen de la promotion est de 22 ans et
72% des élèves proviennent de lycées militaires.
Au cours de cette année, les élèves-officiers conduisent plusieurs
projets qui concourent à leur formation humaine et développent leur sens
de l’organisation, et visent en outre à créer une véritable cohésion au
sein de
Enfin, elle s’investit dans l’action au profit des blessés en opération
de l’armée de Terre.
Dans cet esprit, la promotion « chef de bataillon Bulle » se rendra du 1er
au 4 mars 2012 en Savoie sur les traces de son parrain. Ce voyage est
motivé par la volonté de faire rayonner la figure notre parrain, le chef
de bataillon Bulle, dans une région où sa mémoire est encore présente,
et par le besoin de nous rendre sur les lieux de sa vie, afin de saisir
pleinement le sens de son combat et de son engagement, mais aussi de
pouvoir rencontrer les « anciens » qui pourront témoigner de la vie dans
les maquis sous les ordres de notre parrain.
Nous souhaitons, en communion avec les savoyards, commémorer et nous
rappeler le sacrifice consenti par le chef de bataillon Bulle afin de
protéger les Français de la barbarie nazie. Nous sommes motivés par le
souci de l’histoire vivante de cette période afin que les membres de
notre promotion soient touchés par l’histoire personnelle de son
parrain. Enfin, ce voyage est également pour nous une occasion de faire
rayonner notre École dans une région où elle reste méconnue. Il est donc
important pour nous d’aller à la rencontre des habitants et des élus
locaux dans différentes villes de Savoie afin de diffuser l’image de
notre École.
Aix les Bains Casino Grand Cercle
Salon du chiot
Les 18 et 19 février s’est
déroulé le salon du chiot au Casiino Grand Cercle, avec plus de 300
chiots et quelques chats.
Venus de toute la France, les éleveurs mettaient en vente des chiens de
compagnies de différentes races.
La foule s’était déplacée avec la présence de nombreux parents et leurs
enfants. Ce fut aussi des moments d’échange avec les responsables des
stands.
Sur le parvis du Casino, l’Association aixoise Les Amis des bêtes,
rappelait aux visiteurs et peut être futurs acheteurs, l’importance de
leur geste, leur responsabilité en tant que propriétaire d’un animal et
donc de se poser les bonnes questions avant tout achat !
Car adopter un chiot, c’est un engagement sur de nombreuses années !
Trévignin Association Laura
De retour de Miami, Laura a fait des progrès !
L’association
Laura a été créée le 14 septembre 2011 pour venir en aide moralement et
pécuniairement à la jeune Laura Botalla (17 ans) de Trévignin, atteinte
d’une ataxie cérébelleuse atrophie du cervelet.
Comme prévu, en ce mois de février 2012 Laura a
pris la direction de Miami en Amérique afin de suivre un traitement pour
des stimulations musculaires suivant la méthode Biofeed back.
Laura est rentrée ce dernier samedi de Miami où
elle a subi un traitement durant 3 semaines à raison de 50 minutes par
jour et un moral en hausse car cette première étape s’est avérée
positive. Incapable de pouvoir marcher, laura a pu faire quelques pas
sans se tenir !
Méthode multi-sensorielle pour les muscles, ce
traitement sans opération consiste à restimuler l’ensemble des muscles
de Laura pour qu’elle puisse à nouveau remarcher, comme auparavant. Car
son handicap est apparu seulement à l’âge de 12 ans, sans cause
apparente et décelable d’après le corps médical. Et donc cela peut
toucher n’importe qui à un moment de sa vie!
Depuis son retour, chaque jour avec l’aide de sa
famille et d’un kiné, Laura doit marcher suivant la méthode que sa
famille a filmé lors du séjour outre atlantique.
Revigorée par cette première étape encourageante
et avec sans doute moins d’anxiété, Laura va reprendre la direction de
Miami au mois d’aout de cette année, pour 3 nouvelles semaines de
traitement.
Renseignements :
Association Laura
Présidente de l’association Myriam Botalla
Tel.04 79 61 22 62 ou 06 79 81 38 41
Site :
www.association-laura.fr Laura à Miami entouré de Diana Diaz chef du service Biofeedback et Manager (à droite de Laura), sa kiné ( à gauche avec des lunettes), au dessus Christophe le jeune interprète et les parents de Laura.
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